Anomalies de l’œil : comment les corriger

(14/03/2013) L’œil est l’organe le plus complexe et le plus perfectionné du corps humain. Il reçoit la lumière de l’extérieur et permet à l’homme d’observer son entourage. Mais rien n’est invulnérable. Il se peut que vos yeux soient atteints de maladies et d’anomalies. Pas de panique ! Un groupe d’élèves présentant le bac, a proposé d’étudier quelques anomalies de l’œil, très fréquentes dans le monde : la myopie, l’astigmatisme et la presbytie.

Une grande partie de la population terrestre peut souffrir de troubles visuels dus à l’environnement, le code génétique, ou même l’âge. Les myopes ont des difficultés avec l’observation des objets lointains à cause d’un globe oculaire trop allongé, ou à cause d’un cristallin (en d’autres termes la lentille convergente de l’œil) trop bombé. Les presbytes ont une difficulté avec l’observation des objets de près, contrairement aux myopes. La presbytie n’apparaît que chez les adultes de plus de quarante ans, causée par une fatigue des muscles ciliaires de l’œil. L’astigmatisme existe chez la plupart des gens dès leur naissance et peut disparaître, rester, ou se renforcer jusqu’à un certain degré. Sa présence est expliquée par une malformation de la cornée de l’œil et se manifeste par une vision floue, peut importe la distance de l’objet observé.

Notre vision est donc imparfaite,  mais heureusement que les ophtalmologues peuvent nous aider à remédier à cela ! Ils nous font passer quelques tests comme la lecture du tableau d’optotype, le test de la boîte à verres, la skiascopie et la kératométrie1, ainsi que d’autres méthodes de diagnostic médicaux. Pour une meilleure vision, on a recours à une paire de lunettes ou à des lentilles de contact. On peut également subir des interventions chirurgicales au laser, comme le LASIK ou le LASEK, le KPR, ou des implants de lentilles.

Mais voilà, il n’y a pas que les points positifs des corrections visuelles : elles ont certaine limites de fonctionnement. Ces dernières peuvent varier du simple (manque de pratique, gêne post-intervention) au plus grave (infection, perte de vision). Toutefois, l’intensification des progrès dans ce domaine, a été révélée. Il s’agit généralement de gammes d’alternatives et d’options aux services des atteints, qui surpassent souvent ceux disponibles pour la majorité des problèmes médicaux. Les axes de recherches restent nombreux : causes génétiques des maladies, technologies optiques de plus en plus spécialisées et spécifiques… Il faudrait donc attendre les nouvelles avancées scientifiques en espérant acquérir des données plus perfectionnées.

1 : méthode de mesure optique et ophtalmologique permettant de mesurer le rayon de courbure de la cornée.

Jennifer Saba Abou Samah

Christelle Bou Harb

Nour Helou

Elia Fikany

 

 

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